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III.




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. , XVII XVIII . , , XVI ., . , , , . , .

, , . , , XIV ( ) -. . , , , , - . , , , , .

, . honnettes gens, , considération. . , -, 1730 . , 5.

- -, . , 1740 . . Lettres Françoises et Germaniques, . le bel Usage6. . dêtre rude et barbare7. A , , quon parle mieux dAllemand en Saxe, quen aucun autre endroit de lEmpire1). , , . , , , , il est difficile, quune nation, qui contient dans son sein tant de Peuples indépendans les uns des autres, se soumette aux décisions dun petit nombre des Savans2).

, : , , , , .. . , , , , , . , , . .

, , - , , : , , , , , , , , .

Nommez-moi, 8, un Esprit créateur sur votre Parnasse, nommez-moi un Poëte Allemand, qui ait tiré de son propre fond un Ouvrage de quelque réputation; je vous en défie3).

, . 1780 ., .. , , , De la littérature Allemande9, , . , , , . Je trouve, , une langue à demi-barbare, qui se divise en autant de dialectes différentes que lAllemagne contient de Provinces. Chaque cercle se persuade que son Patois est le meilleur4. , . - . Ce nest donc, , ni à lesprit, ni au génie de la nation quil faut attribuer le peu de progrès que nous avons fait, mais nous ne devons nous en prendre quà une suite de conjonctures fâcheuses, à un enchaînement de guerres qui nous ont ruinés et appauvris autant dhommes que dargent5).

: Le tiers-état ne languit plus dans un honteux avilissement. Les Péres fournissent a lEtude de leurs enfants sans obérer. Voilà les prémices établies de lheureuse révolution que nous attendons6. , , , , . , , .

, 1781 ., ; 1787 . ø. . , .

De la littérature Allemande. - 1780 ., , patois, . , : ø ø; (, 1781 ., ) , (1766) (1767). 1748 . , , , . . , , , . , , . .

: . , ø . , basses classes, : Pour vous convaincre du peut de goût qui jusquà nos jours règne en Allemagne, vous navez quà vous rendre aux Spectacles publics. Vous y verrez représenter les abominables pièces de Schakespear, traduites en notre langue et tout lAuditoire se pâmer daise en entendant ces farces ridicules et dignes des Sauvages du Canada. Je les appelle telles parcequelles pèchent contre toutes les règles du Theatre. Ces règles ne sont point darbitraires.

Voilà des Crocheteurs et des Fossoyeurs qui paroissent et qui tiennent des propos dignes deux; ensuite viennent des Princes et des Reines. Comment ce mélange bizarre de bassesse et de grandeur, de bouffonnerie et de tragique peut-il toucher et plaire?

On peut pardonner à Schakrespear ces écarts bizarres; car la naissance des arts nest jamais le point de leur maturité.

Mais voilà encore un Goetz de Berlichingen qui paroit sur la Scène, imitation déstestable de ces mauvaises pièces angloises, et le Parterre applaudit et demande avec enthousiasme la répétition de ces dégoûtantes plattitudes7a). : ...Après vous avoir parlé des basses Classes, il faut que jen agisse avec la même franchise à légard des universités7b).

, , , , , . , , . , . -. . , . . , Discours sur la Tragédie, ero , 1730 . : Je ne prétends pas assurément approuver les irrégularités barbares dont elle ( . ..)est remplie. Il est seulement étonnant quil ne sen trouve pas davantage dans un ouvrage composé dans un siècle dignorance par un homme qui même ne savait pas latin et qui neut de maître que son génie8).

, , , - . , ; . , , , . , . : . , ero . , , , , -, , , . , , , , , .

, , 10. , , , .

, : , . . , ( ), . .

. ( ), -, . - , . , . Bildung Kultur .





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