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20




, 1790

? : , . , , :

Pour un peuple aimable et sensible

Le premier bien est un bon Roi -

?

, , , . ; , , , , , ! , , , ; , , , ; , -. . , .

14 , , . :

, , : Vive la nation! ! , : Vive la nation! ! ! . . ; . , : , ?

, , , : , , ! , , .

, , . . : Oue faire? j'aime les te-te-troubles! ? ---! .

? ? , , .

, , , , , . ( , .) , , , , , , . , , , . , . , , : , , ; .

, ; . , , ; , , , , : !

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GARGANTUA, H. LVIII

 

 

Enigme et Prophetie

Je fays scavoir a qui le veut entendre,

Que cet hyver prochain, sans plus attendre,

En ce lieu ou nous sommes,

Il sortira une maniere d'hommes,

Las du s et faschez du sejour,

Qui franchement iront, et de plein jour,

Suborner gents de toutes qualitez,

A differends et partialitez.

Et qui voudra les croire et escouter,

Quoy qu'il en doive advenir et couter.

Ils feront mettre en debats apparents

Amys entre eux et les proches parents.

Le fils hardi ne craindra l'impropere

De se bander contre son propre pere.

Mesme les Grands, de noble lieu faillis,

De leurs subjects se verront affaillis,

Et sur ce point naistra tant de meslees,

Tant de discords, venues et allees,

Que nulle histoire, ou sont les grands merveilles,

N'a fait recit d'emotions pareilles.

Alors auront non moindre authorite

Hommes, sans foy, que gents de verite;

Car louts suivront la creance et estude

De l'ignorante et sotte multitude,

Dont le plus lourd sera recu pour juge.

0 dommageable et penible deluge!

Deluge, dis-je, et a bonne raison;

Car ce travail ne perdra sa raison,

Et n'en-sera: la terre delivree,

Jusques a tant qu'elle soit ennyvree

De flots de sang

, , . :

, , , , . , , , . , ; . , ! , : , .

,

, ; , , , , , , , , , . , . , , 1 . Longchamp. , , . : ! ! , ! : ! ! , ! , : Allons, allons, mes amis! de l'esprit, de l'esprit! Bon; c'est de la vraie gaiete Parisienne! (, , ! , ! ! ! (.). .) , pour se confondre avec le peuple ( (.).- .). ; . *, . . ? . , : . , , !

Longchamp, , , . :

Fremin, tu fais fremir le sort,

Et ton nom vit malgre la mort.

(! , , (.), .)

:

Qui la vie a vecu de Francois Seraphique,

80 ans sur terre, au Ciel vit l'angelique.

( , (.).- .)

, 29, 1790

, , , , , Pont neuf ( , .) , , , , , . . , , !

! , !.. !.. ; .

, . , , , , .

: , (les Francois), (les Italiens), (Theatre de Monsieur) Varietes , ( !) , - .

, , , , . , . , , , , , , , , , , , . , , , , , , , , ; , , ; , ; , ; , , , : ! !; , , , , , .

, , . , . ; , , ; , , ? , , , , .

, , . , , , , , : , , , , , , . e , , , , : !, , , . : ! . ! , ! , . . , , . , , , ; , .

, , , , , . , : , ! , . , , , ! , ? , . ! :

J'ai perdu mon Eurydice:

Rien n'egale mon malheur!

( : ! (.).- .)

, , , , , ?

. -: ! , . .

, , , . , , , . , , . , ( ) ; , , , , .

, . . , , , , , (, ) . , . , , ! . , , , . ; mes feux, ma foi ( ! ! (.) .); a la Francoise, ( (.). .) , , , , . , des vers a retenir; (, (.). .) , , , , , , (situations) , , .

( - , , , , , , , :

Blow winds rage, blow!

You sulph'rous and thought-executing fires,

Vount couriers oak-cleauing thunder-bolts,

Singe my white head! And thou allshaking thunder,

Strike flat the thick rotundity o'th' world;

Crack nature's mould, all germins spill at once,

That make ungrateful man!!!

I tax not you, you elements, with unkindness!

I never gave you kingdom, call'd you children;

Then let fall

Your horrible pleasure!.. Here I stand, your slave,

A poor, infirm, weak and despis'd old man!

(, , , ! , ! !.. , ! ; , !.. , ! , ! , ! , , , , , !)

; , , , . ? , . : , ?)

, , , , , , ' , , .

, , , -, -, , , , ., , . ! ! , , , , , , , ; , , , , , , .

. ! . , , ( ), . , , . , . . , , , , . . ! , , , . ; . - . : Oedipe en ces lieux va paraitre ( (.). .), , , , , , - . . , , , . , ; , . , , , , ( :), . , : , , , , , , . , , , , , . . . , , ; . -

(

Un Dieu plus fort que moi m'entrainait vers le crime;

Sous mes pas fugitifs il creusait un abime,

Et j'etais, malgre moi, dans mon aveuglement,

D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.

Voila tous mes forfaits; je n'en connais point d'autres,

Impitoyables Dieux, mes crimes sont les votres,

Et vous m'en punissez? Ou suis je? quelle nuit

Couvre d'un voile affreux la clarte qui nous luit?

Ces murs sont teints de sang; je vois les Enmenides

Secouer leurs flambeaux vengeurs, des patricides.

Le tonnerre on eclats semble fondre sur moi:

L'enfer s'ouvre

( , , , ; , . , . , , ? ? , ? ; , , . , (.) .))

- : , . - : , . . , , . , , , , . , , , , , . , . , , , ; , ; , ; ; ; , . , , . :

Le destin de Medee est d'etre criminelle;

Mais son coeur etait fait pour aimer la vertu.

( , (.). .)

, , , . , , , . , . , Le Couvent ( (.), .). , , , , ! ! :

L'attrait qui fait cherir ces lieux,

Est le charme de l'innocence.

( (.). .)

! , , , , . . , . , , , ( .).

: . , . , , , , , , .

, , : , , , , , , , .

, : , . , . , , , , , . , ; ! , , , . . ! ! , ; , . . , , , . , , ; , , , , , . , , . , , , ! ?- !.. : ! ( , ; , .) . , , :

Ah! quel sort

Le barbare

Me prepare!

C'est la mort!

C'est la mort!1

(, ! ! ! (.). .)

, , . ! ; ? , . : . . ; . , ! , -

, , ,

, -

, .

! ! , , ; . , , , . ; . : . -





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