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1
1. ,
John Keats
ON THE GRASSHOPPER AND CRICKET
THE POETRY of earth is never dead:
When all the birds are faint with the hot sun,
And hide in cooling trees, a voice will run
From hedge to hedge about the new-mown mead;
That is the Grasshoppershe takes the lead
In summer luxury,he has never done
With his delights; for when tired out with fun
He rests at ease beneath some pleasant weed.
The poetry of earth is ceasing never:
On a lone winter evening, when the frost
Has wrought a silence, from the stove there shrills
The Crickets song, in warmth increasing ever,
And seems to one in drowsiness half lost,
The Grasshoppers among some grassy hills.
2. ,
Heinrich Heine
FRÜHLING
Die Wellen blinken und fließen dahin,
Es liebt sich so lieblich im Lenze!
Am Fluße sitzet die Schäferin
und windet die zärtlichsten Kränze.
Das knospet und quillt und duftet und blüht,
es liebt sich so lieblich im Lenze!
Die Schäferin seufzt aus tiefer Brust:
Wem geb ich meine Kränze?
Ein Reiter reitet den Fluß entlang,
er grüßet so blühenden Mutes,
die Schäferin schaut ihm nach so bang,
fern flattert die Feder des Hutes.
Sie weint und wirft in den gleitenden Fluß
die schönen Blumenkränze.
Die Nachtigall singt von Lieb und Kuß,
es liebt sich so lieblich im Lenze!
3. ,
Jean Auvray
A UNE LAIDE AMOUREUSE DE LAUTEUR
Un oeil de chat-huant, des cheveux serpentins,
Une trogne rustique à prendre des copies,
Un nez qui au mois daout distille les roupies,
Un ris sardonien à charmer les lutins,
Une bouche en triangle, où comme à ces matins
Hors oeuvre on voit pousser de longues dents pourries,
Une lèvre chancreuse à baiser les furies,
Un fronte plaitré de fard, un boisseau de tétins,
Sont tes rares beautés, exécrable Thessale.
Et tu veux que je taime, et ta flamme loyale
De ma belle maitresse en ton sein étouffer?
Non, non, dans le bordeau va jouer de ton reste;
Tes venimeux baiser me donnoraient la peste,
Et croirais embrasser une rage dEnfer.
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