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Je vous dis, , 1, que tant ne ma saveur manger ni boire ni dormir que jentends crier: À eux! des deux côtés et que jentends hennir les chevaux sans cavaliers sous lombrage et que jentends crier: Aidez! Aidez! et que je vois tomber par les fossés petits et grands sur lherbage et que je vois les morts aux flancs percés par le bois des lances ornées de bannières1).

, , , , , , , ! . .

: Voici venir la plaisante saison où aborderont nos navires, ou viendra le roi Richard, gaillard et preux, tel que jamais il ne fut encore. Cest maintenant que nous allons voir dépenser or et argent: les pierriers nouvellememnt construits vont partir à lenvi, les murs seffondrer, les tours sabaisser et sécrouler, les ennemis goûter de la prison et des chaînes. Jaime la mêlée des boucliers aux teints bleues et vermeilles, les enseignes et les gonfanons aux couleurs variées, les tentes et les riches pavillons tendus dans la pleine, les lances qui se brisent, les boucliers qui se trouent, les heaumes etincelants qui se fendent, les coups que lon donne et que lon reçoit2).

Chansons de geste, : , , , , , , ero ...

. Par ma tête, 2, je nai souci de ce que vous dites, je me moque de vos menaces, comme dun coing. Tout chevalier que jaurai pris, je le honnirai et je lui couperai le nez ou les oreilles. Si cest un sergent ou un marchand on le privera du pied ou du bras3).

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, . , , , , .. . . , . , . , 4.

Pour la societé dalors la guerre était normale4*, XIII . XIV-XV .: , , , ... 5.

XV ., , IX . XIII ., , , , : Cest joyeuse chose que la guerre... On sentrayme tant à la guerre. Quant on voit sa querelle bonne et son sang bien combattre, la larme en vient à lueil...5). . . 1465 . , . : ... . , , ! , , , , . . , . , ? ; , , . , 6.

, , , , ! 7. , ; , .

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Nul courtois ne doit blâmer joie, mais toujours joie aimer ( , ), XIII .8. : Jeune homme doit bien être gai et mener joyeuese vie. Il ne convient pas à jeune homme quil soit morne et pensif69. pensif , , , , morne pensif.

10, . , :

Sint uns allen ist gegeben ein harte ungewissez leben7).

, . , :

Wildu vürchten den tôt, sô muostu leben mit nôt8).

:

Man weiz wol daz der tôt geschiht, man weiz ab sîner zuokunft niht: er kumt geslichen als ein diep und scheidet leide unde liep. Doch habe du guote zuoversiht vührte den tôt ze sêre niht vührtestu in ze sêre du gewinnst vreude nie mêre9).

. , , . , , , . , . , . , . , , . . .

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', XV ., 12. , , , . , 13: ' , , 1440 1450 . , , . , ' , excès et attemptaz [ ]. , , , ; , , , ' . , ' . . . . ' , ' . , . , . - ; , ' , -, . : , -, . , ero : 1465 . . . , . , , ' comme larron et murdrier [ ]. , , , , , , , , , . . , , 14. , , , , . , . . -, , , , . , . ; . lettres de rèmission. , , , . lettres de rèmission , , , , , . , , , , . .... Roturiers, , , , coutumes; , de guerre, .. 15.

: , , . - , . associès, ; , ; - 16. , , . - - .

, , . XV . . , , , 17. On sait, combien, qu quincème siècle les moeurs étaient violentes, avec quelle brutalité les passions sassouvissaient, malgré la peur de lenfer, malgré le frein des distinctions de classes et le sentiment de lhonneur chevaleresque, malgré la bonhomie et la gaieté des relations sociales 10* .

, , . , , , , . , , , , , , . . , , , . , , , , , . , , . , , , . , , .

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1774 . Civilitè : Les enfants aiment à porter la main sur les habits et les autres choses, qui leur plaisent; il faut corriger en eux cette demangeaison, et leur apprendre à ne toucher que des yeux tout ce quils voient ( , . , .).

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XVI . . , . . , . , , , . . . IX 19.

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